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  • 作词 : BRUNI, CARLA
    作曲 : BRUNI, CARLA
    Il semble que quelqu’un ait convoqué l’espoir
    Les rues sont des jardins, je danse sur les trottoirs
    Il semble que mes bras soient devenus des ailes
    Qu’à chaque instant qui vole je puisse toucher le ciel
    Qu’à chaque instant qui passe je puisse manger le ciel
    Les clochers sont penchés, les arbres déraisonnent
    Ils croulent sous les fleurs, au plus roux de l’automne
    La neige ne fond plus, la pluie chante doucement
    Et même les réverbères ont un air impatient
    Et même les cailloux se donnent l’air important
    Car je suis l’amoureuse, oui, je suis l’amoureuse
    Et je tiens dans mes mains la seule de toutes les choses
    Je suis l’amoureuse, je suis ton amoureuse
    Et je chante pour toi la seule de toutes les choses
    Qui vaille d’être là, qui vaille d’être là
    Le temps s’est arrêté, les heures sont volages
    Les minutes frissonnent et l’ennui fait naufrage
    Tout paraît inconnu, tout croque sous la dent
    Et le bruit du chagrin s’éloigne lentement
    Et le bruit du destin (passé) se tait tout simplement
    Oh, les murs changent de pierres, le ciel change de nuages
    La vie change de manières et dansent les mirages
    On a vu, m’a-t-on dit, le destin se montrer
    Il avait, mine de rien, l’air de tout emporter
    Il avait ton allure, ta façon de parler
    Car je suis l’amoureuse, oui, je suis l’amoureuse
    Et je tiens dans mes mains la seule de toutes les choses
    Je suis l’amoureuse, je suis ton amoureuse
    Et je chante pour toi la seule de toutes les choses
    Qui vaille d’être là, qui vaille d’être là

    Je suis l’amoureuse, je suis ton amoureuse
    Et je chante pour toi la seule de toutes les choses
    Qui vaille d’être là, qui vaille d’être là

  • [00:00.000] 作词 : BRUNI, CARLA
    [00:01.000] 作曲 : BRUNI, CARLA
    [00:14.30]Il semble que quelqu’un ait convoqué l’espoir
    [00:19.03]Les rues sont des jardins, je danse sur les trottoirs
    [00:23.79]Il semble que mes bras soient devenus des ailes
    [00:26.31]Qu’à chaque instant qui vole je puisse toucher le ciel
    [00:28.60]Qu’à chaque instant qui passe je puisse manger le ciel
    [00:33.43]Les clochers sont penchés, les arbres déraisonnent
    [00:38.10]Ils croulent sous les fleurs, au plus roux de l’automne
    [00:42.85]La neige ne fond plus, la pluie chante doucement
    [00:45.43]Et même les réverbères ont un air impatient
    [00:47.64]Et même les cailloux se donnent l’air important
    [00:51.85]Car je suis l’amoureuse, oui, je suis l’amoureuse
    [00:56.84]Et je tiens dans mes mains la seule de toutes les choses
    [01:01.39]Je suis l’amoureuse, je suis ton amoureuse
    [01:06.59]Et je chante pour toi la seule de toutes les choses
    [01:10.84]Qui vaille d’être là, qui vaille d’être là
    [01:16.00]Le temps s’est arrêté, les heures sont volages
    [01:20.84]Les minutes frissonnent et l’ennui fait naufrage
    [01:25.60]Tout paraît inconnu, tout croque sous la dent
    [01:28.00]Et le bruit du chagrin s’éloigne lentement
    [01:30.28]Et le bruit du destin (passé) se tait tout simplement
    [01:35.05]Oh, les murs changent de pierres, le ciel change de nuages
    [01:39.85]La vie change de manières et dansent les mirages
    [01:44.58]On a vu, m’a-t-on dit, le destin se montrer
    [01:46.90]Il avait, mine de rien, l’air de tout emporter
    [01:49.22]Il avait ton allure, ta façon de parler
    [01:53.40]Car je suis l’amoureuse, oui, je suis l’amoureuse
    [01:58.23]Et je tiens dans mes mains la seule de toutes les choses
    [02:03.06]Je suis l’amoureuse, je suis ton amoureuse
    [02:08.02]Et je chante pour toi la seule de toutes les choses
    [02:12.62]Qui vaille d’être là, qui vaille d’être là
    [02:16.82]
    [02:26.71]Je suis l’amoureuse, je suis ton amoureuse
    [02:31.31]Et je chante pour toi la seule de toutes les choses
    [02:35.78]Qui vaille d’être là, qui vaille d’être là
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